Jannik Sinner en a tiré des conséquences personnelles.
Source : AFP/Henry Nicholls
« Je sais que je n’ai rien fait de mal », a déclaré vendredi le numéro un mondial lors d’une conférence de presse avant l’US Open à New York: « Je respecte les règles antidopage et je les respecterai toujours. »
Ce fut « un long processus », a déclaré Sinner :
L’Italien a été testé positif à deux reprises au stéroïde interdit Clostebol en mars, a-t-on annoncé mardi. Cependant, il a évité une interdiction à long terme et a finalement été acquitté par un tribunal indépendant, selon l’Agence internationale pour l’intégrité du tennis (ITIA).
Il a pu expliquer de manière compréhensible qu’il avait été innocemment contaminé par son physiothérapeute. En conséquence, Sinner a annoncé vendredi qu’il s’était séparé de ses physiothérapeutes. « En raison des erreurs, je ne me sens plus en confiance pour continuer à travailler avec eux. Ce dont j’ai besoin maintenant, c’est d’air frais. »
Le comportement de Sinner a été critiqué
Surtout, le manque de transparence et le traitement inégal par rapport à des cas similaires avaient suscité le mécontentement de la scène tennistique. « Nous savions d’où venait la substance et nous leur avons tout de suite expliqué », s’est défendu Sinner. « Ils m’ont cru, moi et nous, c’est pour cela que j’ai pu jouer. »
Toute personne testée positive passe par le même processus, a-t-il souligné : « il n’y a pas de raccourci, pas de traitement différent ».
Source : ZDF
Source: SID/dpa