Près de B&B plein d’amour Depuis lundi, les amateurs de téléréalité peuvent profiter d’un épisode de chaque jour Une maison pleine (OBNL 1). Pouvez-vous atteindre? B&B plein d’amour grince encore régulièrement des dents à cause de la honte indirecte Une maison pleine il est garanti qu’il n’y a vraiment rien de mal. Vous suivez simplement le quotidien de quatre familles nombreuses.

Bien sûr, il faut qu’il se passe quelque chose pour une série de téléréalité comme celle-ci, alors les familles sont allées faire des sorties lundi. La famille Blom à Bodegraven (7 enfants) fait une sortie que seul papa aime. Avant son quarantième anniversaire, il peut jouer de l’orgue de St. John’s à Den Bosch. Les enfants montrent clairement qu’ils trouvent cela très ennuyeux et bruyant. La famille Cudogham d’Amsterdam (7 enfants) aidera son fils Jazz avec sa nouvelle maison. Ici, pour la première fois, nous voyons quelque chose qui ne va pas : le fils voudrait décorer la maison à son goût, mais il s’agit de l’ancienne maison parentale de sa mère, qui veut tout laisser pareil. « Nous verrons », tente-t-elle, en guise de dernière proposition. « Non, nous ne pouvons pas voir! » dit le père sévèrement.

Des scènes domestiques très reconnaissables, à la différence que les salons sont remplis à ras bord d’enfants. C’est très joli, il y a tellement d’enfants, une idée assez séduisante, et en même temps il ne faut pas y penser.

Une maison pleine Cette dix-huitième saison accueille une nouvelle famille : Samira et Ali Bakhcha et leurs huit enfants. Samira dirige la famille comme une opération militaire. Le père chante des versets du Coran avant de s’endormir, ce qui rime bien avec le père romain Blom qui raconte aux enfants des histoires tirées de la Bible.

Vieillir

Super, tellement de nouvelle vie à la télé. Le plus souvent à la télévision, il est question de vieillir. Adelheid Roosen et Hugo Borst réalisent ensemble des programmes sur la démence depuis 2018. Dans la nouvelle saison de Roosen & Borst (NPO 2) ils enquêtent sur l’euthanasie, avec des portraits émouvants de personnes confrontées à ce choix. Hugo Borst souhaiterait l’euthanasie s’il développe une démence. Adelheid Roosen ne veut pas de l’euthanasie, elle veut vivre toute la vie, y compris cette dernière partie.

Ils rendent visite à deux personnes qui reflètent à peu près ces positions. L’actrice Chrisje Comvalius, 75 ans, est en difficulté et souffre de la maladie d’Alzheimer. On la voit à l’arrière du scooter de son fils se rendre à un concert de son amie Meral Polat. Dreadlocks grises, spécial femme. Parce qu’elle semble toujours aussi pleine de vie et s’exprime si bien, son déclin n’est pas immédiatement perceptible. Cela l’attriste, elle aimerait que ce soit plus clair : « On ne me croit tout simplement pas. » C’est également important car elle doit convaincre les médecins qu’elle souffre insupportablement. Elle est pressée car, dit Borst : « La maladie d’Alzheimer ne tient pas compte des procédures. » L’actrice est aujourd’hui décédée.

Adelheid Roosen rend visite à Roel. Il souffre de démence à corps de Lewy, ce qui signifie, entre autres, qu’il a des hallucinations terrifiantes. Roel voudra peut-être mourir, mais cela est entre les mains de Dieu. Il est réformé. Il aide avec les chevaux de son ami Jan. Sa fille l’emmène dans l’église vide pour écouter l’orgue. Mais cela l’affecte tellement qu’il s’en va. Les mots semblent parfois un peu étranges à Roel, et heureusement pour Roosen, qui y voit de la poésie.

Hugo Borst propose un pont étrange mais magnifique : « Ce que l’église est pour Roel, le Centre d’expertise sur l’euthanasie l’est pour Chrisje : la stabilité et, espérons-le, la tranquillité d’esprit. » Pour convaincre Roosen de l’utilité de l’euthanasie, Borst lui dresse un tableau terrifiant de ce qui l’attend dans « l’enfer » du service de démence. Il propose de quitter la vie ensemble, le moment venu. Elle trouve que ça a l’air sympa.






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