Au retour des vacances après les vacances d’été, députés et sénateurs n’auront pas à s’ennuyer. En effet, divers projets de loi les attendent, souvent proches de leur objectif mais reportés à septembre en raison de l’embouteillage de décrets à transformer en loi à la dernière minute (plus que les autres années à ce stade de l’année) avant la fermeture du Parlement pour vacances.

Les projets de loi en cours d’examen par Montecitorio….

A la Chambre, il y a le facture de travailqui contient également des mesures visant à lutter contre le gangmastering. Et il arrivera au tribunal le 10 septembre facture de sécurité (avec des bodycams pouvant être portées par les policiers et la répression de la lumière du cannabis). Dans l’attente des députés de la Commission des Finances, outre le décret législatif avec le texte consolidé sur les petits impôts de l’État, toute une série de propositions législatives, parmi lesquelles la réouverture des délais de demande d’acquisition de propriétés de l’État par les entités territoriales. . Après les rumeurs de ces derniers jours qui ont remis sur le devant de la scène l’éventuelle contribution des banques au budget public, la commission devra également examiner un projet de loi sur l’obligation de contracter et de retirer la banque dans les relations en compte courant et un présenté par la FdI précisément sur l’extension de l’application de l’impôt extraordinaire sur les bénéfices extra-bancaires : une série d’auditions a été annoncée à ce sujet mais n’a pas encore commencé. Là séparation des carrières des juges et des procureurs elle a déjà été nommée à Montecitorio, dans la Commission des Affaires Constitutionnelles. Une cinquantaine d’auditions ont eu lieu. Parmi les Azzurri de Forza Italia, qui sont les principaux sponsors de la réforme, l’espoir est d’atteindre le premier vote à la Chambre d’ici la fin novembre.

….et ceux du Palazzo Madama

La réforme du code de la route n’a pas (encore) réussi à devenir loi (malgré la pression de Matteo Salvini). Ayant reçu l’approbation de Montecitorio en mars, le projet de loi est bloqué en commission sénatoriale de l’environnement depuis la mi-juillet sous la pluie de propositions d’amendements (près de 450) dont 54 ont la signature de Forza Italia. Les Azzurri sont précisément les alliés du gouvernement les plus obstinés à demander des orientations et des éclairages (suivis par Fratelli d’Italia avec 11 propositions de modifications, aucune de la Ligue du Nord) qui, si elles sont approuvées, risquent de ramener le texte à la Chambre. Parmi les propositions majoritaires, celle de Meloni visant à transformer la pratique du maternité de substitution un crime universel, même s’il est commis à l’étranger dans un pays qui l’autorise. Il suffit que la mesure Fratelli d’Italia parvienne au Sénat pour devenir loi, un an après que la Chambre ait donné son feu vert. Au Sénat, l’examen en commission du projet de loi reste à conclure‘Intelligence artificielleaffecté conjointement aux commissions Environnement et Affaires sociales. Et le projet de loi prévoyant des dispositions sur la simplification et la numérisation des procédures liées aux activités économiques et aux services aux citoyens et aux entreprises attend une destination : la disposition, liée à la loi de finances, a été présentée au Sénat le 5 juillet, mais elle n’est pas encore votée. attribué.

Les chambres attendent le projet de loi sur la concurrence

Le projet de loi annuel sur la concurrence, adopté en Conseil des ministres fin juillet, doit également encore être mis en œuvre. Le projet de loi va de l’extension des dehors aux sanctions contre les taxis illégaux et les NCC et introduit une nouveauté qui modifie les concessions autoroutières : une partie des péages ira dans les caisses de l’État plutôt que dans celles des sociétés concessionnaires. Cependant, il n’aborde pas le problème des stations balnéaires, sur lequel l’exécutif n’a pas donné de réponses même lors du dernier Conseil des ministres, alimentant ainsi la colère de certains opérateurs qui a ensuite explosé lors de la grève du 9 août. Quelque chose pourrait bouger en septembre et, comme l’anticipe Il Sole 24 Ore, un plan gouvernemental serait déjà prêt pour redessiner les concessions au fil du temps, en les modulant en fonction du pourcentage de plages libres présentes dans la zone.

Le bonus Befana toujours en attente

En septembre, cela fera 4 mois. Nous attendons depuis longtemps l’arrivée au Parlement du décret législatif Irpef-Ires avec la controversée « prime Befana », les quelque 80 euros initialement promis la treizième année mais ensuite reportés à janvier faute de couverture. Approuvé par le Conseil des ministres à la veille du 1er mai, le décret législatif mettant en œuvre la réforme fiscale, selon ce que nous comprenons, est toujours bloqué à la Comptabilité. Il faudra donc encore un certain temps pour qu’il soit présenté aux parlementaires.



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