Une soirée géniale mais presque oubliée au club.

Un son solitaire. Une longue pause. Un autre battement. Une autre pause. Une voix d’Auto-Tune traverse la pièce vide alors qu’une machine grince d’agonie. Un rythme s’installe, mais la danse est différente. Le morceau s’appelle « Out Of Loop » pour une raison et est un exemple extrême, mais aussi typique du programme que Tama Gucci poursuit sur son premier album. Le New-Yorkais par choix, qui s’est fait un nom dans la scène queer animée de Miami avant de déménager, joue la bande originale de NOTES TO SELF pour commémorer une belle soirée club dont on ne sait plus si elle l’a réellement vécue comme ça.

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Les rythmes de la jungle dansent encore et encore, de merveilleuses mélodies transpercent les flashbacks, la bass music semble soudain fragile et éphémère comme un rêve, et Kymani Floyd, comme on appelle réellement Tama Gucci, chante le désir, le désir et le désir de brûler de plus en plus vite. Ensuite, lorsque les endorphines disparaissent, les battements flottants sans but deviennent ennuyeux. Mais c’est comme ça quand la nuit devient trop longue.

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