La star de RTL Boulevard, Jeroen Snel, reçoit une lourde tape sur les doigts après ses déclarations non journalistiques sur la princesse Laurentien. «Je pense aussi qu’il y a une leçon à tirer de cela», déclare Lars Duursma.

© RTL, SBS

Lars Duursma, l’un des experts en communication les plus connus de notre pays, trouve ridicule la façon dont Jeroen Snel a interprété la situation de la princesse Laurentien en tant qu’expert en redevances pour RTL Boulevard. Selon Jeroen, la princesse n’aurait jamais pu se rendre coupable d’un comportement inapproprié, car elle est toujours très gentille avec lui.

« Il va trop loin »

Vraiment ridicule, pense Lars. «Je pense aussi qu’il y a une leçon à tirer de cela sur la façon de la défendre dans les médias, car j’avais le sentiment que certaines personnes allaient trop loin. Par exemple, j’ai trouvé cela auprès de Jeroen Snel, qui est le responsable des redevances chez Boulevard », dit-il dans le podcast Les Communiqués.

L’interprétation de Jeroen n’a aucun sens, dit Lars. « Il explique ensuite : ‘J’ai toujours eu de belles interviews avec Constantijn et Laurentien, j’ai été dans le jardin et oh, comme ils sont gentils et comme ils sont gentils.’ Donc, a-t-il conclu, ces fonctionnaires doivent mentir. Et puis je pense que tu vas encore trop loin.

En parallèle avec Ali B

Lars fait alors un parallèle avec Ali B. «C’est comme dire : ‘Je ne pense pas qu’Ali B ait été avec une femme, parce qu’il n’a jamais été avec moi non plus.’ Vous ne pouvez pas faire une déclaration aussi ferme sur la base de votre propre expérience quant à savoir si quelqu’un a pu faire cela à d’autres.

Selon lui, ce n’est pas journalistique. « Par exemple, il a également dit : ‘N’oubliez pas les fonctionnaires avec lesquels elle a eu affaire. C’est précisément ce groupe qui est responsable de toute cette affaire. Ensuite, vous regroupez à nouveau tous les fonctionnaires. De : les fonctionnaires, ils sont l’ennemi, ensemble nous devons faire la guerre contre la fonction publique.

« Juge trop vite »

Dans l’ensemble, Jeroen a raté le but, pense-t-il. «Je pense que c’est aussi une simplification. Comme si ces personnes étaient les mêmes qui étaient autrefois impliquées dans les autorités fiscales. J’ai du mal à l’imaginer et il ne sait certainement pas si c’est le cas.»

« Alors Jeroen Snel, juste un peu moins prompt à juger des choses qu’on ne connaît pas ! »



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