Un énième report dans la définition du deal a rendu nerveux le défenseur niçois, qui était le plan B de Calafiori. Les Anglais entraient en offrant 40 millions. Giuntoli doit maintenant trouver une alternative

9 août – 00h49 – TURIN

Cela change tout. Les négociations entre Todibo et la Juventus ont été compromises, apparemment définitivement. L’inclusion de West Ham a été décisive, car ils avaient déjà traité le défenseur auparavant sans terminer l’opération. Les Bianconeri ont eu le Français entre leurs mains pendant au moins un mois, mais lors du dernier match entre les clubs mercredi, ils étaient à nouveau parvenus à un accord : l’accord était presque total, tant sur le prêt onéreux (de 5 millions) que sur les conditions de l’obligation de rachat (à 30) dès l’atteinte d’un certain nombre de participations et non plus dès la qualification pour la prochaine Ligue des Champions ; il ne manquait plus que l’accord sur la revente future, par rapport à une demande des Français de 25 %.

SITUATION

Le énième report de la définition de l’accord (qui aurait probablement eu lieu au début de la semaine prochaine) a rendu le joueur nerveux : la nouvelle relance de West Ham, avec une action ultra-rapide et visiblement efficace sur tous les fronts, a atteint les frais de 40 millions pour le prix et augmenté la partie variable du salaire du joueur avec quelques bonus. En fait, le club anglais a surmonté la concurrence de la Juve en faisant preuve d’une plus grande détermination en clôture : il est envisageable que Todibo puisse subir des visites médicales même dans les prochaines heures. Et la Juve ? Giuntoli a promis le défenseur à Thiago Motta depuis un certain temps, il doit désormais trouver une solution dans peu de temps. L’Ajax fait pression sur Rugani, mais on ne peut pas exclure qu’il puisse attendre encore un peu avant de vendre le défenseur sans alternative concrète. Todibo était déjà le plan B de Calafiori.





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