Ce soir sur Rai 1 la rencontre inattendue entre un chef étoilé et un groupe d’enfants autistes qui marque un avant et un après dans leur vie


Uans une mère combative, un restaurant s’apprête à baisser ses volets pour toujours, un chef étoilé en crise et un groupe d’enfants autistes. C’est l’aventure de protagonistes du film Le menu du bonheurréalisé par le réalisateur français Hervé Mimran et diffusé en première TV ce soir à 21h25 sur Raï 1.

Netflix : 10 séries TV et films à ne pas manquer en août

Le menu du bonheurl’intrigue du film

L’histoire commence par une mésaventure de Noé (Gauthier Gagnière), un garçon autiste doté d’un énorme talent pour la cuisine, mais victime à plusieurs reprises de discrimination. À chaque fois, le scénario se répète : son dévouement pour la cuisine se heurte à la méfiance des employeurs et il lutte longtemps pour conserver son emploi.

Lorsqu’il se fait virer du food truck pour lequel il prépare des sandwichs, il doit faire face à une nouvelle déception. Mère Virginie (Mélanie Doutey) il veut que Noé mène une vie normale et a les possibilités de n’importe quel autre garçon de son âge. Il veut avant tout aidez-le à réaliser son rêve de devenir chef. Alors, il travaille pour trouver une solution.

Mélanie Doutey et Bernard Campan dans le film « Le Menu du Bonheur ». (L’heure d’été M6 Rtbf)

Son chemin croise celui de Gérard (Lionnel Astier), le propriétaire du restaurant proche de la maison d’hôtes. La belle étincelle (La belle étincelle), qui n’a aucune envie de fermer son restaurant. Virginie a l’inspiration : donner une nouvelle vie au restaurant, en embauchant des jeunes en situation de handicap cognitif en cuisine et en salle..

Un nouveau départ pour Noé et Philippe

Gérard accepte la proposition et tous deux se lancent dans l’aventure. L’entreprise s’avère plutôt tortueuse, mais Virginie n’abandonne pas se tourne vers Philippe Lamarck (Bernard Campan), un célèbre chef étoilé au caractère bourru qui traverse une période difficile.

Sa carrière est en déclin total, après avoir perdu son étoile et avoir été licencié en raison d’un violent affrontement avec la brigade devenu public. Le monde gastronomique l’a coupé et, malgré les succès obtenus au fil des années, il n’y a plus de place pour lui. Il a besoin d’un nouveau travail et, avant tout, de redorer son image, il participe donc au projet de Virginie. Accéder à La belle étincellemais il ne sait pas que la nouvelle brigade sera composée d’enfants autistes.

L’impact initial n’est pas le meilleur, mais Virginie espère que Philippe pourra enseigner à Noé les secrets du métier et ainsi lui assurer un avenir stable. Au fil du temps, entre les deux naît une entente non seulement professionnelle, mais surtout humaine, qui changera la perspective des deux.

Le menu du bonheur Il est inspiré d’une histoire vraie

Le menu du bonheur aborde un sujet délicat, exploré par le cinéma et la télévision seulement ces dernières années et Il est inspiré d’une histoire vraie. La belle étincelle ça existe vraiment, il est situé à Paris, dans le 15ème arrondissementet Pierrot Goldstein, le fils du producteur, y travaille depuis plusieurs années Fabrice Goldstein. C’est ce dernier qui a donné l’idée d’un film, après avoir publié quelques informations sur le restaurant sur les réseaux sociaux.

De là, il n’y avait qu’un pas pour développer le scénario. L’objectif était de parler de son expérience et de la démarche suivie pour arriver à la genèse du lieu. Un aperçu de la réalité qui se concentre sur les histoires des enfants qui y travaillent sur le ton de la comédie. Le film montre plusieurs scènes tirées de la vie quotidienne de la cuisine et certains des acteurs recrutés sont des employés du restaurant.

Au casting figurent également Laurent Bateau dans le rôle de Sergel’ex-mari de Virginie, et Pierrot Goldstein dans le rôle de Martin. Angélique Bridoux incarne Louane, Vincent Chalambert incarne Lucas et le journaliste François-Régis Guadry joue lui-même.

iO Donna © TOUS DROITS RÉSERVÉS



ttn-fr-13