L’Espagne surprise

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À l’été 2017, le Paris Saint-Germain a payé 222 millions d’euros au FC Barcelone pour les services de Neymar, renversant ainsi la tendance sur le marché des transferts. À ce jour, aucune autre décision ne se rapproche de celle du joueur aujourd’hui âgé de 32 ans, ce qui fait de lui le footballeur le plus cher de l’histoire et le Brésilien le plus cher. Mais quels sont les records de transferts des autres pays ? Transfermarkt en donne un aperçu.

Dans le classement, qui répertorie les joueurs par nation les plus chers avec une indemnité de transfert d’au moins 60 millions d’euros, l’Allemagne se retrouve à la 13e place partagée. Kai Havertz l’a démontré avec son transfert de 80 millions d’euros du Bayer Leverkusen au Chelsea FC à l’été 2020. Il remplaçait à cette époque Timo Werner et son transfert de 53 millions d’euros du RB Leipzig intervenu deux ans plus tôt chez les Blues. Havertz occupe même désormais les deux premières places du classement allemand.

Parallèlement à la signature de Neymar, le PSG a également prêté Kylian Mbappé à l’AS Monaco en 2017 et l’a signé pour 180 millions d’euros un an plus tard. Avec cette somme, l’attaquant place la France à la deuxième place derrière le Brésil dans les statistiques nationales. Le Portugal complète le podium avec João Félix, passé de Benfica à l’Atlético Madrid en 2019 pour 127,2 millions d’euros.

Mais il y a aussi des nations soi-disant « plus petites » aux premières places, comme l’Équateur avec Moisés Caicedo (à Chelsea pour 116 millions d’euros) ou le Pays de Galles avec Gareth Bale (au Real Madrid pour 101 millions d’euros). Ce qui est également surprenant, c’est que dans une nation aussi forte que l’Espagne, l’indemnité de transfert la plus élevée n’a pas été payée pour un joueur de champ, mais plutôt pour un gardien, Kepa Arrizabalaga, parti de l’Athletic Bilbao à Chelsea pour 80 millions d’euros en 2018.



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