Le NAC Breda commencera à réparer les tribunes du stade Rat Verlegh le mois prochain. Cela est nécessaire car une inspection a montré que les pattes de support sous les stands devaient être remplacées. Lors de ce remplacement, des travaux de réparation sont également immédiatement effectués sur la structure du bâtiment. Bien que la municipalité de Breda soit propriétaire du stade, le NAC doit financer lui-même la rénovation en augmentant le loyer.

Les supporters du NAC subissent des désagréments dus au travail à leur retour en Eredivisie. « Pour donner aux supporters du NAC Breda autant de possibilités que possible d’assister aux matches, cela se fera par étapes. Il est inévitable que certains détenteurs d’abonnements ne puissent pas s’asseoir à leur propre place pour un maximum de deux matchs à domicile. . Pour compenser cela, des tribunes de secours seront placées dans le stade. Cela signifie que la capacité d’accueil des spectateurs reste la même », a indiqué la municipalité de Breda.

Le conseiller municipal Jeroen Bruijns, chargé de l’immobilier municipal, déclare : « En tant que propriétaire, il est de notre devoir légal de maintenir le stade dans un état sûr. Je ne peux pas nier que c’était une pilule difficile à avaler, mais la sécurité passe toujours en premier. Ce travail est nécessaire et garantit Nous veillons également à ce que le stade continue de répondre aux exigences dans les années à venir, en concertation avec le NAC Breda, nous nous attaquerons à ce problème du mieux possible. »

NAC est responsable des 1,5 millions de coûts
Les travaux de construction et de réparation coûteront 1,5 million d’euros. Ce qui est étrange, c’est que la municipalité de Breda est propriétaire du stade Rat Verlegh, mais que la facture est présentée au club. Un accord datant de 2013, à une époque où le NAC faillit faire faillite et où Breda rachetait le stade.

« Le contrat de bail stipule que la commune peut réaliser des travaux et qu’elle en est responsable », précise le directeur Remco Oversier. « Ils semblent également pouvoir répercuter les coûts associés sur NAC. Ils compensent ensuite ces coûts avec le loyer. »

Il s’avère qu’il s’agit d’un accord coûteux auquel la municipalité s’en tient. « À cet égard, nous nous sentons dos au mur », déclare le directeur du CNA. « Nous sommes autorisés à participer dans une certaine mesure à la planification de la mise en œuvre et nous avons nous-mêmes trouvé la solution pour les stands d’urgence. Heureusement, nous avons également eu une coopération rapide pour l’octroi du permis. »

Douloureux mais réalité
Mais ce revers coûteux ne s’arrête pas à une augmentation du loyer du stade (capacité de 19 000 places), inauguré en 1996. « Toutes les pertes de revenus et les frais des stands d’urgence semblent être supportés par nous en plus de tous les frais antérieurs. »

La mauvaise gestion du passé continue de hanter le CNA. « Bien sûr, c’est douloureux, mais c’est une réalité dans laquelle il est clair que la sécurité de nos supporters doit primer. Malheureusement, nous ne pouvons pas y échapper », a déclaré Remco Oversier.



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