Eva Hoeke, l’épouse de Marcel van Roosmalen, se sent vraiment complètement vide depuis qu’elle a été licenciée par de Volkskrant. Cette fois, elle est en colère contre Het Parool. « Je ne suis pas un faux chat de gouttière ! »

© OBNL

Le licenciement d’Eva Hoeke en tant que chroniqueuse du Volkskrant – le journal veut renouveler – a provoqué une émeute incroyablement divertissante. L’épouse de Marcel van Roosmalen est complètement bouleversée et se déchaîne. Son ancien patron est coupable de népotisme et le rédacteur en chef échoue lamentablement, estime-t-elle.

Eva, c’est les gens ?

Eva estime que le Volkskrant n’est pas assez populaire et affirme qu’elle l’est depuis sa maison à 1,6 million d’euros située dans un quartier huppé d’Amsterdam. Un faux interprète du sentiment des « gens ordinaires », ironise le chroniqueur Hassan Bahara. Et Marcel est énervé à cause de ça ; il parle de « coups stupides ».

Quoi qu’il en soit : Eva est à nouveau attaquée, mais cette fois par son ancien employeur, Het Parool. Le chroniqueur Roelf Jan Duin y évoque un incident douloureux de son passé, à savoir lorsqu’elle a menti sur une tentative vol de jus d’orange dans une crêperie. Eva a gravé ce restaurant dans le sol, après quoi Het Parool a dû le corriger.

Ivre

Eva a écrit dans sa chronique comment Marcel avait rempli à nouveau un verre de jus après que du jus ait été renversé et qu’on lui a dit à la caisse qu’il devait payer deux verres. Le restaurant a exigé une correction : il aurait bu la moitié du verre puis l’aurait rempli à nouveau. Het Parool a examiné les images vidéo et a donné raison au restaurant. Tellement embarrassant.

Roelf Jan en parle aujourd’hui dans son colonne: « Au Zandweg 17 à Wormer, ils mangent de la rancune au petit-déjeuner et de la vengeance au déjeuner. C’est trop long à expliquer ici, mais à Het Parool, ils n’ont pas encore oublié le #pancakegate. Le résumé le plus court : les deux ne se sont pas étouffés avec leur premier mensonge ou leur premier verre de jus d’orange.

Logiquement

Selon Roelf Jan, le licenciement du Volkskrant est tout à fait logique, étant donné le déménagement d’Eva vers la capitale. « Avec Aaf Brandt Corstius et Sylvia Witteman, le journal a soudainement eu trois femmes dans un rayon de deux kilomètres qui ont transformé les conversations au supermarché en chroniques et c’est devenu un peu trop. »

Eva lui rappelle Victoria Beckham dans un documentaire de Netflix, dans lequel elle qualifie sa famille de « très ouvrière ». Lorsque David lui conseille d’être honnête, elle admet qu’elle a été emmenée à l’école dans une Rolls Royce. « Remplacez les Rolls par une maison à Watergraafsmeer qui coûte 1,6 million, et vous auriez pu tourner la même scène dans la maison Hoeke/Van Roosmalen. »

Eva en colère

Eh bien, maintenant Eva est à nouveau en colère. Elle soupire à X : « Mon Dieu. Plus tôt cette semaine, j’ai été mis dans le coin de Trump par le Volkskrant, maintenant Parool a publié un autre article dans lequel je suis dépeint comme un faux chat des rues. Entre-temps, la critique elle-même n’est ni contredite ni réfutée. Ce n’est pas possible, parce que j’ai raison.

Eva promet maintenant d’arrêter ses diatribes sauvages. « Ils ont juste compris là-bas, je vais passer à autre chose et me concentrer sur les sympathisants, car ils sont là aussi ! Beaucoup plus même. Je me sens vu, et c’est fantastique à vivre. Merci pour cela, nous nous reverrons sans doute quelque part ! 🧡”



ttn-fr-48