L’attente avant le coup de départ de la finale du 100 m a reçu des serviettes de la part de l’expert.

Noah Lyles a remporté le titre d’homme le plus rapide du monde à Paris. Lyles et finaliste de la Jamaïque par Kishane Thompson seulement cinq millièmes de différence ont été trouvés entre eux.

L’uniformité et la dureté de la finale ont été confirmées par le fait que la Jamaïque, qui a terminé dernière Séville oblique a couru 9.91. Le temps gagnant était de 9,79.

– Un moment très dur dans la dernière partie de la finale. En termes de niveau, une finale très difficile, mais nous avons avancé deux dixièmes moins vite que Celui d’Usain Bolt pendant, l’expert en athlétisme d’Iltalehti Arto Bryggare dit.

Bryggare était déjà sûr que Thompson gagnerait. Selon l’expert, cependant, le joueur de 23 ans a eu des difficultés à la fin, à la manière d’un junior, et d’un autre côté, Lyles a frappé fort à la fin.

Oblique Séville, dernier placé, a été le deuxième plus rapide des demi-finales. Bryggare donne des serviettes non seulement au coureur « fondu » mais aussi aux organisateurs de la course.

– Les Français nous ont un peu gâché quand nous avons attendu si longtemps pour partir. Les amis portent des « haippi » et ensuite nous attendons et attendons. C’était une erreur. Quand on construit un point de vente, il faut y aller et ne pas attendre. Juste stupide.

– Mais le plus haut niveau jamais vu.

Le départ du 100 mètres masculin a dû être attendu étonnamment longtemps. EPA/AOP

Le plus excitant de la soirée

Bryggare sera la star de dimanche soir, cependant, le mauler canadien par Ethan Katzberg, qui a réalisé 84,12 lors de son premier. Finaliste Hongrie Bence Halász atteint un résultat de 79,79. C’est un record du monde À Juri Sedy 86.74.

– Cette course s’est terminée en un seul lancer, résume Bryggare.

– Oui, c’était à mon avis la prestation la plus excitante de la soirée. Le 100 mètres en athlétisme est le même que dans tous les autres sports réunis, et même atteindre les demi-finales est une chose terriblement difficile. Mais oui, le travail et l’agitation de Katzberg étaient si écrasants qu’il s’agissait de la performance la plus folle jusqu’à présent, relativement parlant.

ME possède Sedy depuis près de 40 ans.

– Je me demande si Katzberg ne bat pas le record du monde à un moment donné. Et ce MOI est dur.

Niveau de Junnila

La finale du saut en hauteur féminin a rendu Bryggare triste d’avoir chuté au tour de qualification Ella Junnilan destin.

La médaille de bronze a été partagée par l’Australie Éléonore Patterson et l’Ukraine Irina Herachtchenko avec un score de 195.

– Si Junnila avait maintenu ne serait-ce qu’une certaine concentration, elle aurait eu une chance très réaliste de concourir pour une médaille.

Comme prévu, Jaroslava Mahutshih a remporté le saut en hauteur aux JO de Paris. EPA/AOP

– L’obtention d’une médaille n’était en aucun cas une impossibilité pour Junnila lorsqu’elle était en bonne santé. C’est triste que ce soit arrivé à Ella comme ça.

Comme prévu, l’or a été pris par l’Ukraine Jaroslava Mahutshih avec un score de 200. L’argent était détenu par l’Australie Nicolas Olyslagers avec le même résultat mais avec un protocole moins bon.

– Quatre médailles très attendues. Les meilleurs résultats étaient épuisés. L’or olympique aurait pu adoucir un peu Mahutshi, et personne ne l’a contesté à la fin. Les Olyslagers auraient pu sauter 200 et passer directement à 202. Il frappait si fort qu’il aurait pu le sauter et le mettre dans le coin de Mahutshih.

Ingebrigtsen ou Kerr ?

La Grande-Bretagne a réalisé le meilleur temps lors des demi-finales du 800 mètres féminin Keely Hodgkinson.

– Britti est en délire. Je m’attends même à ce que le record du monde soit frôlé en finale. Si le Kenya Marie Moraa ou quelqu’un d’autre ose traîner les 400 premiers mètres jusqu’à 55 mètres de surface, ça va être une période folle.

Dimanche, nous avons aussi goûté à la Norvège par Jakob Ingebrigtsen et la Grande-Bretagne Par Josh Kerr affrontement. Les deux se taquinent.

– Je n’ose pas dire lequel est le meilleur. Pour le moment, je suppose que Kerr, mais je ne sais pas. Je dis toujours que si Ingebrigtsen doit tirer 800 m, Kerr gagnera, mais si Ingebrigtsen oblige quelqu’un à tirer fort au départ, elle gagnera. Le seul problème est que nous y travaillons très dur pendant longtemps, dit Bryggare.



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