Après la polémique sur la boxe féminine, une position ferme est prise : « Nous ne reconnaissons pas les tests Iba. Personne ne veut revenir à l’époque où l’on faisait des tests génitaux ».

4 août – 15h34 -MILAN

« Nous ne reconnaissons pas les tests de genre IBA parce que le processus n’est pas légal. Personne ne veut revenir à l’époque où les tests génitaux étaient effectués. » C’est la position ferme adoptée par le CIO, par la voix de son porte-parole Mark Adams, dans le différend avec la Fédération mondiale de boxe (IBA) au sujet des deux boxeurs à taux élevés de testostérone présents aux Jeux.

droits humains

Adams a réitéré que le CIO ne prend pas en compte les tests ADN : « C’est une question de droits de l’homme. Ce sont des tests illégaux, effectués arbitrairement. Le débat sur les réseaux sociaux est une chose, la vie privée et les droits de l’homme en sont une autre : ceux qui ne sont pas condensés dans 140 caractères ».





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