Les athlètes ont vomi dans leurs poches à cause du triathlon des JO de Paris organisé sur la Seine.

Au moins les équipes canadienne, italienne et belge ont eu des problèmes de santé.

La direction de l’équipe italienne a confirmé à Iltalehti que les athlètes de Saapasma avaient des problèmes d’estomac pendant la partie natation du triathlon, alors qu’ils avaient avalé de l’eau pendant la pause de la représentation.

Les Italiens estiment qu’environ cinq pour cent de tous les triathlètes ayant concouru à Paris ont développé des symptômes pendant ou après la compétition.

Selon la direction de l’équipe italienne, la politique a pris le pas sur le sport lorsque, avec l’opération de nettoyage coûtant 1,5 milliard, elle a été « contrainte d’organiser une section natation » dans la Seine.

– En nageant sous le pont, j’ai ressenti et vu des choses qu’on ne devrait pas vivre. La Seine est sale depuis cent ans, on ne peut donc pas dire que la sécurité des sportifs était une priorité. Les discussions sur l’eau baignable sont des conneries totales, a mis en ligne le triathlète belge Vermeylen de Jolie aux fournisseurs de leur pays d’origine.

De la buée ?

Le nettoyage a coûté 1,5 milliard d’euros. PASI LEISMA

Quelques jours avant le triathlon olympique organisé mercredi, le taux de bactéries E.coli au point de mesure de la Seine était de 2 000 unités pour 100 millilitres. Aux Jeux olympiques, il fallait arriver à moins de 900 unités.

Selon l’équipe italienne, cela ne s’est pas produit, même si les résultats officiels des mesures prétendaient le contraire.

Au total, 110 athlètes ont participé aux triathlons féminins et masculins.

Si le chiffre de cinq pour cent rapporté par les Italiens est valable, cela signifie 5 à 6 athlètes.



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