Bridget Maasland en colère contre BLVD après l’article de Dave Roelvink : « Absurde »


Bridget Maasland n’arrête pas de dire à quel point il lui est difficile de travailler pour une rubrique à potins comme RTL Boulevard. « L’article de Dave Roelvink était vraiment absurde. »

©RTL

Ça commence à devenir assez fou : Bridget Maasland qui profite de chaque occasion pour parler de la difficulté qu’elle a à travailler pour une émission de potins. Elle se débat à travers les émissions par à-coups ; tout cela correspond tellement à ses normes et à ses valeurs. De quoi le présentateur n’est-il pas content ?

Tout est difficile

Bridget pense que ses collègues de Boulevard sont allés trop loin avec un article sur Dave Roelvink. « Il y a parfois des choses qui me font moins bien. Ensuite, j’ai le sentiment qu’on peut en dire quelque chose, mais les gens ne l’écoutent pas toujours », se plaint-elle dans son podcast. Raisins.

C’est difficile, selon la star de la télévision. « Cela tient aussi au fait que ce n’est mon programme qu’une semaine par mois. Si Viv est là ou si vous êtes là, alors bien sûr, je ne peux pas réfléchir depuis le canapé : eh bien, je n’aurais pas fait ça comme ça, puis commencer à appeler », dit-elle à sa collègue Daphné Bunskoek.

Vraiment absurde

Que fait Bridget de sa frustration refoulée ? « J’en parle encore souvent, mais vous en parlez généralement lorsqu’il s’agit de vos propres sujets au cours de votre propre semaine. »

Puis elle donne un exemple. « Nous allions ensuite recevoir Dave Roelvink à l’aéroport après qu’il ait été en cure de désintoxication pour la deuxième fois. Oui, je trouve que c’est vraiment absurde pour quelqu’un qui vient tout juste de là-bas et qui est déjà très ouvert et honnête à ce sujet, mais qui est vraiment super vulnérable.»

Se sentir mal

Bridget réprimande ses collègues pour cet article concernant Dave. « Vous n’allez pas les attraper à l’aéroport avec une caméra en marche. Heureusement, il était assez intelligent pour se mettre en retrait, donc il n’est jamais entré en scène, mais ensuite je me dis : oh, heureusement, ça n’a pas marché.»

Et si ses collègues avaient réussi ? «Je me sentirais très mal à ce sujet.»



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