Jeux olympiques : plus de 100 délinquants dopés aux JO de Paris

Les Jeux Olympiques devraient être synonymes de compétition sportive équitable. Cependant, un grand nombre d’athlètes ont des antécédents de dopage.

Paris s’attend à ce que plus de 10 500 athlètes participent aux Jeux olympiques d’été, dont au moins 105 sont d’anciens délinquants dopés. Cela correspond à un taux de 1 pour cent et, selon un rapport de la chaîne norvégienne NRK, provient de la base de données Internet « Anti-Doping Database ». Selon cela, l’athlétisme compte le plus grand nombre de cas antérieurs avec plus d’un tiers, et le tennis se démarque également avec douze anciens pécheurs.

Parmi les athlètes participant aux jeux, certains athlètes de premier plan ont été poursuivis pour violation des règles antidopage. Par exemple, l’ancienne gagnante de Wimbledon et de Roland-Garros Simona Halep de Roumanie, la championne olympique du 3000 m steeple de 2016 Ruth Jebet, qui part pour Bahreïn, ou la Britannique Chijindu Ujah, qui fera partie du relais 4×100 m en 2021 Argent. a couru au sprint – la médaille lui a été retirée après son contrôle positif.

Le Brésil envoie les partants olympiques les plus stressés dans la course avec douze, suivi de l’Italie avec sept et des États-Unis et de l’Ukraine avec six chacun. Trois partants allemands de Paris sont également répertoriés dans la « Base de données antidopage ».

« Dans la plupart des pays, chacun a droit à une forme de réadaptation, donc je n’y vois pas de problème », a déclaré le porte-parole du CIO, Mark Adams, à propos du nombre d’anciens délinquants dopés en France, ajoutant : « Bien sûr, nous voulons voir Des Jeux sans dopage. Nous travaillons dur pour y parvenir et avons donc créé notre propre autorité antidopage, qui effectue des contrôles indépendants entre mars et juin.

La « base de données antidopage » répertorie les cas d’athlètes reconnus coupables de violation des obligations de déclaration, d’utilisation de méthodes interdites ou de consommation de substances interdites. Pour ce faire, les créateurs évaluent des sources ouvertes telles que des informations provenant d’associations spécialisées internationales, d’agences nationales antidopage et du Tribunal arbitral international du sport (TAS). Il est donc fort probable que tous les cas de dopage ne soient pas enregistrés car ils ne sont pas toujours rendus publics.



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