Evert Santegoeds est heureux de reprendre les espionnes Yvonne Coldeweijer


Evert Santegoeds est prêt à reprendre les espions d’Yvonne Coldeweijer maintenant qu’elle a abdiqué en tant que reine du jus. « Nous restons et les espions peuvent faire leur rapport. »

© SBS

Yvonne Coldeweijer fait sensation depuis quelques années auprès des célébrités néerlandaises, mais sa capacité d’attention semble limitée. Très court. Elle est déjà partie et va maintenant faire plus de choses avec des vêtements. Est-ce que cela nous ramène à la case départ ? RTL Boulevard, Shownieuws et les tabloïds domineront-ils à nouveau le journalisme du showbiz ?

Yvonne manque à Evert

Il y a au moins un concurrent en moins. Est-ce qu’elle manquera au patron du soldat Evert Santegoeds ? « Eh bien, elle me manque déjà. Oui, vous le supposerez immédiatement », dit-il dans le podcast. Strictement privé. « Cela va se passer à peu près comme je l’avais prédit il y a deux ans, lorsque j’ai dit : « C’est une chose temporaire ». Oui, continuez comme ça, ce n’est pas possible pour tout le monde.

Il poursuit : « C’était un phénomène, il fallait vraiment que je lui donne ça. Cela a vraiment fait l’actualité à un moment donné et tous les médias ont adhéré à cela, du genre : est-ce la fin des tabloïds ? Je pourrais alors expliquer qu’un message de sept lignes sur fond rose est quelque chose de différent d’un hebdomadaire entier.

« C’était court »

Evert trouve cela un peu décevant de la part d’Yvonne. « C’était impressionnant, mais court. Elle dit parce qu’elle n’en a plus envie et qu’elle continuera son activité de vêtements. Je lui souhaite bonne chance et si elle souhaite faire de la publicité, faites-le-moi savoir.

L’heure du jus est-elle terminée ? «Cela a vraiment été une sorte de battage médiatique. Tout le monde a été complètement impressionné par Yvonne Coldeweijer et c’était amusant aussi, avec la croquette incinérée, etc. C’était très drôle, mais je pensais que cela ne durerait pas très longtemps.

Petit problème

Evert l’a-t-il déjà considérée comme une concurrente majeure ? « Eh bien, pas vraiment, parce que l’information va très vite et qu’avec un hebdomadaire, il ne faut pas avoir l’illusion d’avoir des scoops. Nous l’avons, mais les nouvelles passent vite et c’est le cas d’elle aussi. Je ne peux pas comparer un magazine avec une section médicale, une section mode et des interviews à ce qu’elle a fait.

«À cet égard, cela ne nous a pas posé de problèmes, mais cela vous a quand même tenu en haleine», explique le créateur du magazine.

Peut-il imaginer que la célébrité poussera un soupir de soulagement ? « Oui, mais nous sommes toujours là. Peut-être que les espions feront leur rapport ici maintenant !



ttn-fr-48