Ex-petite amie assassinée de 27 coups de couteau – prison à vie !


Par Karin Hendrich

Jeannette S. (55 ans), elle était considérée comme une femme de pouvoir dans sa société de logement. Aime s’amuser. Populaire partout. Une seule personne la détestait : son ex-petit-ami Kai G. (52 ans). Le 23 octobre 2023, il l’a tuée avec un couteau gukha.

Mardi, le tribunal régional a condamné le chauffeur professionnel à la réclusion à perpétuité pour meurtre (motif insidieux et ignoble).

Ce père marié de quatre enfants, originaire de Kiel, a témoigné lors du procès que depuis leur séparation des semaines auparavant, « la haine et la colère » étaient montées en lui encore et encore. Il était parti de nuit pour Berlin et l’avait observée se rendre au travail dans la Mahlsdorfer Strasse (Köpenick). Je l’ai tuée de 27 coups de couteau.

Le juge : « Encore un féminicide… effrayant et choquant. Brutal, impitoyable, de sang-froid. Par le plus grand égoïsme.

Jeannette S. a dû mourir parce qu’elle s’est séparée de Kai G. Son ex-petit ami a poignardé la femme 27 fois Photo : Olaf Wagner

Jeanette S. a eu « la malchance » de rencontrer le prévenu dans un café. « Vous les enroulez autour de votre doigt. Des mensonges. » Jusqu’à ce qu’elle reconnaisse peu à peu « l’homme derrière le partenaire sexuel ». Des conflits surgissent. «C’était son droit de se séparer. Mais quelque chose en toi a changé.

L’accusé a recherché des armes sur Google

L’accusé a recherché des armes sur Google. Puis j’ai acheté « cet énorme couteau effrayant ». Afin « d’exécuter sa victime de la manière la plus perverse » quatre jours plus tard.

Le tribunal n’a pas vu d’acte affectif réduisant la culpabilité : « L’acte était planifié de bout en bout. Ils ont tous eu le temps de réfléchir. » Mais Kai G., dans son pharisaïsme, a décidé « qu’elle n’avait plus le droit de vivre ».

Après le meurtre, il est allé faire du shopping – « En paix »

Dans sa description du crime devant le tribunal, il a avoué les deux éléments du meurtre. « Ils lui ont d’abord tranché la gorge, puis l’ont poignardée à plusieurs reprises dans le haut du corps. » Puis il est allé acheter des pantalons et des chaussures. « Calmement. »

Cependant, la chambre n’a pas constaté de gravité particulière de la culpabilité. L’accusé a reconnu le crime et n’avait pas de casier judiciaire.

Kai G. au procès : « Je le regrette profondément… J’ai détruit une vie. J’ai également rendu la vie de ma femme et de mes enfants plus difficile. Et ma vie aussi est ruinée.



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