Le suspect d’avoir placé un explosif au salon de beauté Larense acquitté

Laren a eu son anniversaire à la mi-février l’année dernière surpris lorsqu’un colis suspect est trouvé dans un salon de beauté au bord du centre. Il s’avère effectivement qu’il s’agit d’un explosif. Le paquet comprenait une allumette électronique et une poudre flash extrêmement inflammable. Le colis sera livré un peu plus loin à Huizen explosé par le Service de neutralisation des explosifs et munitions. M. serait impliqué.

Le salon est présidé par le maire fermé depuis presque six mois. La propriétaire dit qu’elle n’a aucune idée de qui se cache derrière cela. Détail intéressant : juste avant que l’explosif ne soit placé à Laren abattu dans une succursale du salon à Utrecht.

Pleurer sur le siège

Lors de l’audience il y a deux semaines, M. a déclaré en pleurant qu’il n’avait rien à voir avec la pose de l’explosif. Il aurait simplement transporté l’installateur présumé mineur de l’explosif. « Tout ce que j’ai fait, c’est de conduire quelqu’un par bonne volonté. »

Il aurait conduit le garçon de la gare d’Utrecht Overvecht à Laren tard dans la soirée. Il devait aller chercher des vêtements auprès de sa petite amie, a compris M. Une fois arrivé au village, le garçon est sorti et est revenu au bout de quelques minutes. L’explosif aurait été posé dans ce laps de temps. M. dit qu’il ne sait rien du placement d’un explosif.

Pas de sécurité

Les traces ADN de M. ont été retrouvées sur le ruban adhésif avec lequel le paquet explosif était collé sur la fenêtre. Mais comme M. travaille comme désamianteur dans le bâtiment, il avait des rouleaux de ruban adhésif dans sa voiture. Selon le juge, il n’est donc pas surprenant qu’un rouleau de ruban adhésif portant son ADN ait été utilisé à l’insu de M..

Les conversations de M. ont également été mises sur écoute au cours de l’enquête. Lors d’une conversation avec quelqu’un, il dit : « Allah nous a aimés et nous n’y sommes pas allés », après avoir appris que le co-suspect avait été arrêté pour ne pas avoir porté de masque lors de l’installation. Mais le juge affirme également qu’il ne peut être établi qu’il savait qu’un explosif allait être placé.

Le tribunal ne peut donc pas déterminer avec certitude que M. était au courant de l’installation de l’explosif, encore moins qu’il a collaboré avec l’installateur. C’est pourquoi le juge d’Utrecht est acquitté.



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