A peine 106 secondes pour Berlin, 200 secondes pour Paris et 202 secondes pour Londres. C’est à quelle vitesse les missiles russes peuvent lancer une attaque nucléaire sur les capitales européennes, a-t-il annoncé à la télévision d’État russe. « En théorie, c’est possible », a déclaré l’ancien colonel Roger Housen, expliquant pourquoi les Russes augmentent désormais la pression de la dissuasion nucléaire.
Tom Antonissen
02-05-22, 18:33
Dernière mise à jour:
02-05-22, 19:13
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