« Ende Gelände » s’est fait connaître principalement grâce à des actions dans les zones minières allemandes de lignite, mais aussi à des protestations contre les terminaux GNL.
Source : dpa
L’alliance, qui s’est manifestée principalement à travers des protestations contre l’exploitation minière du charbon, a intensifié ses formes d’action « jusqu’au sabotage ». Les documents politiques du groupe indiquaient clairement une radicalisation des positions idéologiques dominantes.
Ils s’enchaînent aux ponts et provoquent des embouteillages qui s’étendent sur des kilomètres : les militants du climat tentent d’attirer l’attention sur la catastrophe climatique imminente en recourant à des méthodes de plus en plus radicales.23 juin 2022 | 33:19 minutes
Le Bureau pour la protection de la Constitution voit des liens entre « Ende Gelaender » et les extrémistes de gauche
«Ende Gelaender» a «bénéficié du fort dynamisme du mouvement allemand de protestation climatique ces dernières années» et entretient «des contacts et une coopération étendus», notamment «avec de nombreux acteurs du spectre extrémiste de gauche».
Le classement comme cas suspect donne à l’Office pour la protection de la Constitution davantage de pouvoirs pour surveiller le groupe. Il est alors autorisé à les observer en utilisant certains moyens des services secrets. Par exemple, il est possible de recruter des informateurs et des personnes peuvent également être observées.
Source : dpa
L’Office pour la protection de la Constitution constate une montée des extrémistes de gauche
La radicalisation et la violence de gauche ont augmenté. Comment l’État doit-il réagir ?3 avril 2024 | 43:18 minutes
Selon Thomas Haldenwang, président de l’Office fédéral pour la protection de la Constitution, le nombre d’extrémistes de gauche a « encore augmenté de manière significative » l’année dernière. Au total, il estime qu’il y a environ 37 000 personnes, dont environ 11 000 sont sujettes à la violence, a déclaré Haldenwang lors de la présentation du rapport.
Une augmentation de 10,4 pour cent a été enregistrée dans les crimes d’extrême gauche. Les extrémistes de gauche voulaient « introduire une composante militante dans le mouvement de protestation climatique ».
Source: AFP