Travaux d’intérêt général pour le vol d’un poulain de quelques mois à Dalerveen

Un homme de 48 ans de Dalerveen et une femme de 37 ans sans adresse connue ont été condamnés à 32 heures de travaux d’intérêt général, dont la moitié avec sursis, pour le vol d’un poulain.

Le juge estime qu’il est prouvé que le 6 août 2022, les deux hommes ont mis un poulain de trois mois dans une caravane du centre équestre de Dalerveen et sont repartis avec l’animal. Le propriétaire a déposé un rapport. Le jeune animal était là pour une inspection pour le Studbook du Cheval Spotted (BPS).

Le cheval mère était saillie par l’étalon du suspect de Dalerveen. Il y a eu un désaccord sur le projet de loi de couverture. Selon la plaignante, elle avait tout payé correctement. Ceci est contesté par le propriétaire du haras.

Le désaccord s’est intensifié ce jour-là au manège. Il y avait beaucoup de poussées et de tractions pour éloigner le poulain de sa mère. Selon la suspecte, elle tentait de protéger la tête de l’animal.

Selon son co-suspect, en consultation avec un membre du conseil d’administration du BPS, le poulain serait mis de côté pour discuter sur place du désaccord avec le propriétaire. Au lieu de cela, le poulain a été placé dans une remorque en attente. Comme tous deux sont immédiatement partis avec l’animal, le juge a conclu que le vol était avéré.

L’animal est resté introuvable pendant un moment. La propriétaire a récupéré son poulain grâce à une procédure civile.

Le ministère public (OM) avait alors décidé de ne pas poursuivre les deux hommes. Les preuves étaient insuffisantes et l’affaire a été classée sans suite. Selon le ministère public, il s’agissait d’un conflit de longue date qui pourrait être mieux réglé devant un tribunal civil.

Le propriétaire a déposé une plainte au tribunal contre cette décision. Le tribunal a décidé que le ministère public devait de toute façon s’occuper de l’affaire.

C’est pourquoi les deux suspects devaient encore comparaître devant le juge de police d’Assen près de deux ans après les faits. La femme n’a pas voulu révéler son adresse car elle serait toujours menacée par le propriétaire.

Le juge n’a pas fait de commentaire à ce sujet et s’est concentré sur l’événement survenu au manège en 2022. Et la peine exigée par le ministère public correspond à cela, a déclaré le juge.



ttn-fr-41