« Kamp Waes », épisode 5 : qui fait mieux que la grand-mère ?

Le travail physique le plus dur est effectué Camp Waes. Mais lorsque les six animaux alpha restants se comportent soudainement comme une bande de limaces dans l’épisode cinq, il y a encore des victimes.

Pierre Dumon

Qu’y avait-il au programme ?

Cinquième jour de Camp Waes commence par une douce gymnastique matinale. C’est toujours à une heure peu chrétienne, mais les six candidats restants ne semblent pas s’en soucier. Ils peuvent consulter le physiothérapeute un par un pour aider à soulager des affections mineures et des raideurs musculaires. Les candidats peuvent contacter Tom Waes pour faire part de leurs problèmes mentaux. Jan Dolfijn semble être très impliqué dans cette affaire. Et comme tout biologiste marin peut vous le dire, ce n’est jamais bon signe avec une telle bête.

Il est alors temps de mettre à profit la matière grise des candidats. Un cours intensif dans les forces spéciales devrait les préparer à leur toute première mission. La théorie est également mise en pratique avec quelques exercices axés principalement sur la collaboration. Il s’avère qu’il s’agit d’un point sensible. Ou pour reprendre les mots de l’opérateur Ralph : « Notre grand-mère aurait fait mieux ».

En demandant aux candidats de lister avec qui ils préféreraient et ne préféreraient pas passer du temps de qualité dans une tranchée, Fly and co. pour mieux comprendre les processus du groupe. Mais la répartition des tâches qui en résulte le lendemain ne fait aucune différence non plus. La collaboration entre les six survivants continue de se dérouler aussi bien que les conversations père-fils entre le roi Charles et le prince Harry.

Fly avait-il réservé des surprises ?

Le Schtroumpf en chef de Camp Waes Cette fois, il n’évoque pas d’excursions nocturnes, de randonnées interminables ou de parachutistes hurlants. Cette fois, le travail de démolition se concentre principalement sur le plan mental. Lorsqu’il évalue le travail de groupe de ses recrues, Fly est très pointu. Les animaux alpha qu’il espérait se sont en réalité révélés être une bande de limaces, a-t-il déclaré. Après quoi il tire ses flèches sur quelques-unes de ces créatures gluantes. Jan en particulier traverse une période difficile. «Il existe un mot pour les gens comme vous», déclare Fly. “Pédant.” Et puis aggraver les choses en donnant également une définition douloureuse de ce mot. “Cela signifie que vous avez une opinion qui sait tout sur tout.” Un uppercut figuratif qui fait couler Jan Dolfijn au fond de la mer d’un seul coup. Et comme tout biologiste marin vous le dira, ce n’est pas l’endroit où ces animaux se sentent le mieux.

Qui a fait la plus grande impression ?

Prenons un jour de repos collectif. Même le superman Dries Borstlap ne parvient pas à exceller cette fois. Même si on soupçonne les instructeurs de le boycotter volontairement, histoire d’éviter de se ridiculiser. Après tout, celui qui est physiquement au-dessus des autres est promu responsable de la communication par les forces spéciales. Une position où il doit faire quelque chose de flou avec une radio à des kilomètres de l’endroit où se déroule l’action. Le plus gros gâchis de talent depuis que Roberto Martinez a décidé de garder Jérémy Doku sur le banc lors de la Coupe du monde.

Y a-t-il eu des victimes ?

C’était la chronique d’un adieu annoncé. Aux Tender Feet, c’était déjà un défi pour Jan, mais ce n’est finalement pas un manque de qualités physiques qui a coûté la tête au participant le plus âgé (52 ans). Bien que tous les biologistes marins vantent les qualités sociales des dauphins, celles-ci se sont révélées plutôt décevantes dans ce spécimen. Après seulement trois devoirs de groupe, Jan a contrarié tout le groupe. Une performance qui fait que les forces spéciales décident de le sortir de son malheur.

Qui est à bout de souffle ?

Dur à dire. Aucun des candidats ne fait un très bon travail dans cet épisode. Et le départ de Jan montre que les choses peuvent mal tourner à tout moment. Si nous devons citer un nom, alors peut-être celui de Jolan. “J’aurais dû ouvrir un peu plus la bouche”, conclut-il après les réprimandes qu’il reçoit de Fly. A lui de prouver qu’il est bien un animal alpha et non une limace.

Camp Waestous les dimanches soir à 20h sur VRT 1



ttn-fr-31