LEPas de ce soir sur première télé à 21h20 sur Italie 1, Je ne suis personne est un thriller original qui mêle coups et blessures scènes violentes à un humour sous-jacent qui s’équilibre parfaitement avec l’intrigue. hérosparfait dans le rôle d’un ancien agent de la CIA devenu un homme comme beaucoup de classes moyennes, l’excellent Bob Odenkirk. Célèbre pour son personnagel’avocat Saul Goodman premier dans la série culte briser le mauvais et dans le spin-off Tu ferais mieux d’appeler Saul.
Je ne suis personnel’intrigue du film
Hutch Mansell (Bob Odenkirk) est un homme opprimé, un mari frustré et un père ridiculisé. de son fils. Ce genre d’anonyme, en somme, qui ne se fait pratiquement jamais remarquer un « personne ».
Une nuit, deux voleurs s’introduisent par effraction dans la maison Mansell et Hutch ne fait rien pour défendre son fils adolescent Blake (Gage Munroe) et sa femme Becca (Connie Nielsen). Blake l’accuse de lâcheté alors Becca s’éloigne de plus en plus de son mari. Cela déclenche une colère en lui réprimé trop longtemps.
Profondément blessé dans l’orgueilHutch le ramène à la lumière sombres secrets qui, depuis longtemps, il s’était battu pour rester caché. C’est-à-dire son passé de tueur à gages de la CIA. L’homme se retrouve ainsi annoncé affronter un dangereux adversaire qui menace sa famille. Tout faire pour la protéger et surtout faire en sorte que personne ne le jugera plus jamais comme « personne ».
Une action tendue et ironique à la fois
Deuxième long métrage du réalisateur russe Ilya Naishuller, Je ne suis personne c’est une histoire pleine d’action et d’ironie, presque une sorte de variation sur le thème de la saga John Wick mais avec des notes de sarcasme sans précédent pour une action de cette envergure.
En fait, le film évolue librement entre action et divertissement, ne dédaignant pas les solutions esthétiques à la mode – comme le ralenti ou la GoPro–, mais en même temps introduire certains éléments récurrents des films d’action des années 80 dans le cinéma contemporain et quatre-vingt-dix.
Najšuller choisit un montage sauvage et tourne des scènes très violentes mais toujours empreintes d’un humour sous-jacent : un ton inhabituel et nécessaire à l’excellente réussite d’un film qu’il souhaite briser les conventions du genre.
Aussi pour cela, le choix du protagoniste Bob Odenkirk est emblématique. Dans un nouveau rôle dans sa carrière de comédien et créateur de sketchs pour la télévision américaine, la co-star historique de briser le mauvais Il a le visage d’un comptable et certainement pas le physique du rôle de l’homme d’action à la Bruce Willis. Un protagoniste anonyme, avant le « réveil » criminel auquel il sera contraint.
Et c’est justement grâce à ça heureuse dichotomie Que Je ne suis personne Et un petit bijou comme ça : original et inattendu.
Le protagoniste Bob Odenkirk, star de Tu ferais mieux d’appeler Saul et cousin du roi Charles III
Acteur, comédien et scénariste, la carrière du futur co-star de briser le mauvais commencer au milieu des années 80, comme auteur du légendaire show américain Saturday Night Live.
Créateur de nombreux sketches, Bob travaille avec Adam Sandler et Chris Rock. P.Abandonnons SNL pour commencer une collaboration de vingt ans, toujours en coulisses, avec son ami proche Ben Stiller. Poussé par Stiller, Bob commence aussi à jouer dans des petits sketchs télé, puis il obtient quelques petits rôles au cinéma et enfin, en 2009, le tournant de la vie.
C’est-à-dire le rôle de l’avocat Saul Goodman dans la série briser le mauvais. Personnage culte qui en 2013, il aura sa propre série dérivée dans la série Tu ferais mieux d’appeler Saulune préquelle qui montre l’avocat Goodman avant qu’il ne rencontre le protagoniste de briser le mauvais Walter White.
Acteur polyvalentcapable de grandes performances dans des rôles dramatiques et comiques, Bob a récemment fait une découverte vraiment incroyable. Merci au programme télé américain Trouver vos racines en effet, à partir de recherches sur le passé généalogique des individus, il est apparu que l’acteur de 61 ans est le onzième cousin du roi Charles III. Une découverte décidément étonnante que l’acteur a commentée avec son habituelle ironie lors du show : «Peut-être que je changerai d’avis sur la question de la monarchie».
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