Le paquet économique pour 2024 n’a pas refinancé le Fonds pour le traitement des troubles du comportement alimentaire. Une défaite pour tout le monde


Fiorenza Sarzanini (photo de Carlo Furgeri Gilbert).

OUFaire face à un problème signifie vérifier quels sont les besoins de ceux qui l’ont, analyser ce qui a été fait et ce qui reste à faire pour trouver une solution, écouter ceux qui l’ont traité et continuent de le faire. L’un des problèmes les plus graves auxquels notre pays est confronté aujourd’hui concerne la prise en charge des personnes souffrant de troubles de l’alimentation..

Les dernières enquêtes réalisées par l’Institut Supérieur de la Santé estiment à au moins trois millions de personnes en souffrentsoulignez que la tranche d’âge la plus touchée se situe entre 15 et 25 ans et énumérez les interventions urgentes pour soutenir les patients et leurs familles.

Le premier concerne un dotation « dédiée » qui permet la création de centres de soins spécialisés dans toutes les régions étant donné que dans de nombreuses régions d’Italie, il n’existe pas de structures capables de prendre en charge ces patients.

La seconde fournit un campagne sérieuse d’information et de prévention qui s’adresse à ceux qui souffrent d’un trouble de l’alimentation également à travers le contrôle des réseaux sociaux et la coupure de sites Internet qui incitent à ne pas manger ou qui proposent des défis très dangereux à ceux qui se gavent le plus.

Le troisième impose le formation des médecins et aides-soignants se consacrer à une maladie qui peut devenir mortelle si elle n’est pas détectée à temps. J’ai été malade et je sais de quoi ont besoin ceux qui en souffrent.

Anorexie chez les adolescents : des signes à ne pas sous-estimer

Je sais que la sous-estimation est une attitude qui peut avoir des conséquences dévastatrices. Je sais aussi que l’on guérit si l’on a la conscience du désordre, la volonté de combattre cet ennemi qui se cache dans la tête et détruit le corps. Cela est possible si vous disposez d’outils adéquats et d’une assistance spécialisée.

Au lieu de cela, le gouvernement a décidé de supprimer même les quelques fonds disponibles. Les 25 millions alloués chaque année pour soutenir les soins n’étaient qu’une goutte d’eau dans l’océan de désespoir entourant la maladie, mais ils n’en étaient pas moins un signe d’attention. Un message à ces enfants, adolescents, adolescents et adultes qui luttent chaque jour contre leurs démons pour démontrer qu’ils ne seraient pas abandonnés à leur sort.

Promettre, comme l’a fait le ministre de la Santé Schillaci, que quelque chose arrivera de toute façon, ressemble à une blague. Une astuce pour faire taire les protestations. Le message est pourtant très clair : si vous avez les moyens financiers, tournez-vous vers les particuliers, si vous n’y parvenez pas, nous ne ferons rien pour vous accompagner sur le chemin de la renaissance. Et cela représente une défaite pour tout le monde.

Sur quels sujets faut-il orienter la campagne sur la prévention des troubles de l’alimentation ? Écrivez-nous à [email protected]

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