Critique : Future Islands :: DES GENS QUI NE SONT PLUS LÀ


Synth-pop avec des effets percutants qui mènent de manière fiable au prochain point culminant.

Il y a des raisons de préférences spécifiques en matière d’opulence rock lyrique. D’une part, c’est le désir et le désir d’exubérance, et d’autre part, l’immense valeur divertissante de ce genre, la nature exagérée et exubérante. Vous avez envie de vous offrir un tourbillon de temps en temps. Le groupe Future Islands existe depuis 2006 et présente maintenant son septième album, PEOPLE WHO AREN’T THERE ANYMORE, qui – pour le dire avec précaution – ne diffère guère de ses prédécesseurs.

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Le chanteur Samuel T. Herring domine toujours chaque morceau avec sa voix de baryton parfois un peu arrogante. En live, sur les grandes scènes, il est cependant un grand interprète, un danseur puissant et un pom-pom girl. Future Islands est donc fait pour le concert, avec ses refrains mains en l’air qui incitent à sursauter après des couplets un peu agaçants caractérisés par des nappes de synthé peu inspirées et des paroles assez aléatoires.

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Les morceaux mènent toujours de manière fiable à un point culminant. C’est ainsi que le groupe développe son charisme et le nouvel album fera également bonne figure dans les festivals d’été avec sa mélancolie, ses morceaux dansants et ses grandes images. Par ailleurs, Herring a fait ses débuts d’acteur cette année dans une série Apple TV et rappe sous le nom de « Hemlock Ernst ». Un gars nerveux dans le meilleur sens du terme.

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