« Mefi », « miaou miaou » ou 4-MMC. La drogue de synthèse servait autrefois innocemment de nourriture végétale ou de sels de bain, jusqu’à ce que quelqu’un décide de la renifler ou de l’avaler. Aujourd’hui, la méphédrone semble avoir le vent en poupe : un patient sur cinq qui se retrouve aux urgences de l’hôpital universitaire de Gand après avoir consommé de la drogue a consommé du mefi. «Souvent, ils ne se rendent même pas compte de ce qu’ils reniflent réellement», témoigne un utilisateur de cette drogue de synthèse, qui semble très facile à commander et qui a un lien remarquable avec Gand.
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La drogue de synthèse mefi ou « miaou miaou » en hausse dans notre pays : « Vous avez presque 100 pour cent de chances que vous sniffiez de pures ordures »
