Qtanto mystère peut-il se créer autour d’un simple portrait ? La Joconde de Léonard de Vinci est sans aucun doute l’œuvre la plus emblématique de peinture du monde. Selon une étude récente la peintureconservé au Musée du Louvre à Paris, pourrait représenter (dans son arrière-plan) le paysage de Bobbiovu du Château Malaspina-Dal Verme.
Le studio : la Joconde pourrait être située à Bobbio
La Joconde continue de faire parler d’elle. Cette fois, cependant, non pas à cause de vols ou de tentatives de vandalisme, mais pour son fond détaillé et mystérieux. L’œuvre de Léonard était historiquement considérée comme l’un des premiers portraits d’un sujet placé devant un paysage imaginaire. Mais certaines études récentes ont confirmé la présence de l’artiste un Pierfrancesco di Gropparello, près de Bobbio (Plaisance). Et cela a déjà ouvert de nouvelles questions.
La découverte d’un groupe de scientifiques (dirigé par le paléontologue Andréa Baucon de l’Université de Gênes et de Gerolamo Lo Russo du Muséum d’Histoire Naturelle de Plaisance) tend à confirmer l’une des hypothèses qui circulaient à propos du fond du tableau : ça pourrait être Bobbio. Est exactement à Pierfrancesco di Gropparello Léonard aurait commencé ses études sur les fossiles.
Les « preuves scientifiques »
La nouvelle le ramène Carla Gloriauteur de la théorie scientifique qui situe le paysage de Léonard de Vinci dans celui de Bobbio : selon le chercheur la vue doit provenir d’une fenêtre à l’étage supérieur du château Malaspina-Dal Verme Et derrière la Joconde il y aurait le Ponte Gobbo et le paysage du Val Trebbia.
L’auteur a expliqué : « Études menées sur les icnofossiles (traces fossiles d’empreintes d’anciens êtres vivants) rapportées par Ansa le mois dernier ils ont prouvé que les mêmes formes en pierre ont été étudiées et reproduites par Léonard dans le Leicester Codex. J’ai reçu la confirmation des paléontologues que les ichnofossiles typiques de Pierfrancesco se trouvent à Bobbio, facilement accessible depuis Léonard à dos d’âne ». Ces derniers mois, en effet, Carla Glori avait publié un article à son compte dessins muraux du château Malaspina-Dal Verme dédié au jouteur Galeazzo Sanseverino, mécène et ami de Léonard.
Et il conclut : « J’avais écrit en 2011 que ce territoire était d’un grand intérêt géologique pour Léonard, mais la récente découverte publiée par Rips, une revue de classe mondiale spécialisée en géologie, a une valeur scientifique absolue. Les preuves scientifiques convergent pour localiser Leonardo dans le paysage de Mona Lisa. Pour le reste je me fie à la phrase de Leonardo : La vérité seule était l’enfant du temps« .
Si c’est le cas, la Joconde n’est peut-être pas Lisa Gherardini, épouse de Francesco del Giocondo, mais plutôt Bianca Giovanna Sforzafille aînée légitime de Ludovico il Moro, maîtresse de Bobbio et Voghera.
Une œuvre, une icône
La Joconde était peint par Léonard de Vinci en 1503/1504. Les études menées ces dernières années considèrent que le sujet des travaux est Lisa Gherardini, épouse de Francesco del Giocondo (d’où le nom « la Gioconda »). Une confirmation de cette théorie est également venue des écrits de l’historien de l’art italien Giorgio Vasari: «Il a pris Lionardo pour faire pour Francesco del Giocondo le portrait de Mona Lisa sa femmeet quatre ans avant de le laisser imparfait, lequel ouvrage est aujourd’hui sous le contrôle du roi François de France à Fontainebleau ».
Là l’un l’autre de l’opéra était sans aucun doute troublé. Léonard de Vinci l’emmena avec lui en France en 1516. Un peu plus d’un siècle plus tard, en effet, le tableau fut parmi les œuvres des collections royales françaises. Louis XIV le transféra à Versailles et, après la Révolution française, il arrive au Louvre où il demeure, à quelques exceptions près : Napoléon Bonaparte en a voulu un moment dans sa chambre et, pendant la guerre franco-prussienne, c’était caché dans un endroit secret.
Le vol de la Joconde en 1911
Mais le moment le plus dur de Mona Lisa est arrivé nuit du 20 au 21 août 1911lorsque le tableau a été volé un ancien employé du Louvre, Vincenzo Peruggia : convaincu que le tableau appartenait à l’Italie, il décida de le voler et de le garder vingt-huit mois dans un petit hôtel parisien. Puis, il l’a emporté avec lui dans son pays d’origineà Luino (dans la province de Varese), e il a essayé de le revendre à Florence en 1913. Là, un célèbre antiquaire et alors directeur des Offices s’est immédiatement rendu compte qu’il s’agissait de l’original et a contacté la police. Pérouse a été arrêtée et jugée.
La peinture a ensuite été exposée dans toute l’Italie: allez Offices à Florence à l’ambassade de France Palais Farnèse à Rome. Depuis Galerie Borghèse au Galerie de photos de Brera, à Milan. Après ces expositions, la Joconde est revenue – avec des célébrations nationales – au Persienne. L’attendaient le gouvernement français et le président de la République Raymond Poincaré.
iO Donna © REPRODUCTION RÉSERVÉE