« Tu ne peux pas enlever ce sourire de mon visage » ça résonnait bruyamment dans le pub. Et là, au cœur d’Oeteldonk, j’ai chanté avec des dizaines d’autres carnavaliers. Parce que ce « toi » dans le tube de John de Bever touche à tout en ce moment. Face à la pandémie qui peut sembler désormais terminée, mais a semé tant de mort et de destruction. À ce sac guerrier d’un Poutine† Et dessus dernier rapport des Nations Unies sur le climat. Plus déprimant que jamais. Il s’agit de pleurer, mais pendant cette merveilleuse journée de carnaval, tout cela n’a pas fait disparaître ce sourire sur nos visages. Maintenant, ne vous inquiétez pas, faites juste la fête. Et comment!
Dans ce café, je me tenais bras dessus bras dessous avec mon ancien copain de l’étude de journalisme à Tilburg. Cela fait plus de quinze ans que nous vivions ensemble jour après jour comme si c’était notre dernier jour. Qu’aucun gars n’a eu ce sourire sur nos visages. Enfin, parfois, mais jamais longtemps. De bons souvenirs, cette époque était belle† Pourtant, nous nous sommes perdus de vue. En tant que jeune mère, je préférais m’asseoir à la maison sur le canapé avec mon nouveau bébé, elle était comme un papillon de nuit qui voletait.