Trois otages qui sont tués « par erreur » par les militaires qui étaient censés les secourir. Et tout cela pendant qu’ils se tenaient debout, torse nu et mince, agitant un drapeau blanc. La colère au sein de leurs familles est grande. « Ceux qui vous avaient déjà abandonné vous ont maintenant aussi tué », a lancé hier avec amertume le frère d’Alon Shamriz (26 ans) lors de ses funérailles. Et entre-temps, des détails frappants sont connus sur les trois otages tragiquement abattus. Il s’est avéré qu’ils avaient écrit des messages d’aide avec des restes de nourriture. Et l’armée a commis de graves erreurs.
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