Une reconnaissance pour nos joueurs de tennis et le champion du monde MotoGP pour les meilleurs exploits de la saison. L’événement aura lieu à bord du MSC Fantasia
Cette fois, ce sera le soleil de Naples qui embrassera les stars du sport. Les champions des champions d’une autre saison fabuleuse pour l’Italie et au-delà se retrouveront sur la mer pour scruter les horizons d’autres entreprises glorieuses : le spectacle des Gazzetta Sports Awards, qui en est à sa neuvième édition, sera en effet célébré sur le navire MSC Fantasia le Le mercredi 6 décembre, il sera diffusé par Gazzetta.it et La7 le 16 décembre en fin de soirée.
Les prix décernés par notre journal photographieront comme toujours une année magique, récompensant les héros parmi les héros. En attendant de savoir qui remportera les autres catégories, on peut anticiper les vainqueurs de celle réservée aux « Exploits de l’année », qui réunit l’Italie de Davis, une équipe fantastique qui nous a fait revivre des émotions de près de cinquante ans. vieux , avec Pecco Bagnaia, le champion MotoGP capable de se confirmer dans un sport lié aux équilibres subtils de la vitesse extrême.
tous pour un
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Jannik Sinner, l’âme de l’équipe qui a ramené la Coupe Davis en Italie après 47 ans, a toujours prêché la patience. La saison individuelle du Red Fox a été excellente, au sommet, avec la réalisation du numéro 4 du classement, le premier Masters 1000 de sa carrière et le dernier acte des Finales ATP, mais dans des matchs qui ont valu la conquête de le fameux Salad Bowl il a atteint des sommets paradisiaques, remportant trois matches en simple, deux en double et surtout battant le numéro un mondial Djokovic en demi-finale, annulant trois balles de match consécutives. Après la longue vague d’exploits de leur leader, les camarades étaient prêts avec un mélange d’enthousiasme et de talent qui a fini par entraîner la passion de tout un pays dans l’aventure gagnante. En double, bien que physiquement pas à 100%, Sonego était l’écuyer de confiance de Sinner et leur complicité technique, cimentée par leur amitié en dehors du terrain, représentait un atout fondamental dans une spécialité dans laquelle les adversaires, à la veille, semblaient objectivement être un cran au-dessus. NOUS.
Et comment oublier le courage de Matteo Arnaldi, capable de surmonter la défaite du premier match contre les Pays-Bas et de surmonter un moment familial délicat pour remporter le premier point fondamental de la finale contre l’Australie. Musetti a perdu son match en simple contre la Serbie, mais il a les qualités pour être l’un des leaders dans les années à venir, et les conseils du « vieux » Bolelli représentent le guide avisé. Surtout, le capitaine Volandri, qui a construit un groupe « qui est une famille » et dont la cohésion et la classe ne nous feront pas attendre encore 47 ans pour remporter le trophée d’argent tant convoité.
force mentale
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Bagnaia était le champion en titre, celui qui, comme ni Valentino Rossi ni Marc Marquez ne l’avaient fait avant lui, avait mis de côté son numéro magique, le 63, pour choisir le numéro 1 qui caractérise les champions, comme Giacomo l’avait fait Agostini, Mick Doohan, Jorge Lorenzo ou Casey Stoner. Mais si ce nombre est un honneur, c’est aussi un fardeau, un fardeau supplémentaire de responsabilité auquel, à certains moments, surtout quand les choses ne vont pas bien, on ne peut s’empêcher de penser. Bagnaia devait gagner, lui disait Ducati, les fans l’exigeaient, et si au début sa supériorité était presque écrasante, c’est précisément dans les moments de difficulté que se voyaient sa grandeur et sa complétude en tant que pilote. « J’ai découvert que j’étais beaucoup plus fort mentalement que je ne le pensais », a déclaré Pecco à Valence au lendemain de ce grand exploit.
Eh bien, s’il y a une façon d’expliquer ce prix d’exploit de l’année que Pecco partagera avec la raquette italienne, c’est précisément son énorme solidité mentale, qui l’a amené à remettre en selle, et deux fois à distance de 48 heures, à Misano Adriatico, six jours seulement après le dramatique accident de Barcelone qui aurait pu avoir des conséquences très graves. Ce qui l’a amené à repousser toutes les attaques qui lui étaient adressées par Jorge Martin qui avait commencé à éroder de gros points dès la course en Espagne. Ce qui l’a vu s’imposer depuis la 13ème position sur la grille en Indonésie, ne donnant au pilote Pramac que 23 heures et 59 minutes d’illusion de mener le Championnat du Monde. Celui de Valence, lors de la dernière course, en Espagne, sur une piste où l’ancien coéquipier en Moto3 à l’époque de Mahindra a toujours été très fort, après la classique souffrance de samedi avec le rival porteur de rêves belliqueux, au rendez-vous décisif Il l’a d’abord conduit à l’erreur, puis l’a vu remporter son deuxième Championnat du Monde MotoGP, le troisième de sa carrière, en remportant la course. Ce qui représente pour un sportif le meilleur moyen d’atteindre l’apothéose. Quelqu’un comme ça a besoin d’être serré.
Les Gazzetta Sports Awards sont créés avec la collaboration d’importants partenaires corporatifs et institutionnels. Toujours pour cette neuvième édition, les gagnants des catégories respectives recevront en guise de prix la bague conçue par la Maison Damiani. MSC Croisières est le partenaire principal et organise l’événement à bord du navire MSC Fantasia. Dr Automobiles Groupe et UnipolSai (qui sponsorise les prix Exploit de l’année) sont Partenaires Premium. Santa Margherita est Sparkling Partner. Pastificio Felicetti, Riflessi, Vanini et EdiliziAcrobatica sont partenaires. L’événement se déroule sous le patronage de la municipalité de Naples.
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