Les maladies cardiovasculaires constituent la première cause de décès dans la société occidentale. Mais trop peu de personnes sont dépistées régulièrement. Et c’est ainsi que les étudiants sont allés vers les gens eux-mêmes.
La projection est gratuite. Une analyse personnelle se fait avec quelques tests simples, comme une mesure de la tension artérielle et du cholestérol. Cela crée une image claire du risque de maladie cardiovasculaire. Après le dépistage, chacun reçoit également un pourcentage du risque estimé au cours des 10 prochaines années. C’est un chiffre assez élevé pour environ 40 % des personnes.
Hugo Lefebvre s’est également fait dépister. «Cela m’occupe, c’est sûr. Ils devraient le faire davantage. Une fois qu’on a dépassé l’âge de 65 ans, il est très important d’organiser de telles choses.»
« Heart for Life » n’est pas la seule initiative des étudiants. Tout au long de l’année, ils organisent divers événements liés au (bio)médical et tentent ainsi d’avoir un impact positif sur les soins de santé dans la région.