Hier soir, les chefs du ministère des Affaires étrangères ont exprimé leur déception que 88 Britanniques aient été empêchés de quitter Gaza par le terminal de Rafah.
Ils figuraient sur une liste de noms autorisés à entrer en Égypte, mais les portes ne se sont pas ouvertes comme prévu.
Près de 100 Britanniques sont passés par là la veille.
Un communiqué du ministère des Affaires étrangères a déclaré : « Cela continue d’être une situation complexe et difficile et nous faisons pression pour sa réouverture.
« Il est vital que le passage en toute sécurité des personnes et l’aide humanitaire puissent se poursuivre. »
Pendant ce temps, les bombardements sur Gaza se poursuivaient.
Le Sun a été témoin dimanche d’explosions et de panaches de fumée blanche depuis son point d’observation de Sderot, dans le sud d’Israël.
La plupart des 30 000 habitants de la ville, où une quarantaine de personnes ont été tuées le 7 octobre, ont fui, mais quelques-uns sont restés sur place.
Moria Cohen, 24 ans, employée d’un supermarché, a déclaré : « Quand cela s’est produit, j’avais des crises de panique, mais ici c’est ma maison. »
Le gardien à la retraite Vladimir Kreiderman, 65 ans, était assis devant sa maison lorsque les roquettes du Hamas ont détruit les maisons de chaque côté de lui.
Il a déclaré : « Ils ne me chassent pas de chez moi. »
Il y a également eu de nouveaux bombardements hier à la frontière israélo-libanaise, où les forces de Tsahal combattent le Hezbollah soutenu par l’Iran.
Les services de renseignement américains craignent que le groupe de mercenaires russes Wagner – qui a joué un rôle vital pour Vladimir Poutine en Ukraine – n’envoie des défenses aériennes aux milices du Hezbollah au Liban.