« Au moins 10 ou 12 victimes que je connais seulement, et pour la plupart liées à la famille. » Sylvia compte sur ses doigts en criant les noms de sa sœur, de ses cousines, des filles d’à côté, des femmes du café. Selon elle, ils sont tous victimes de l’homme qui détruira son enfance et plus tard toute sa vie.