3 500 fat bikes d’un fabricant chinois saisis


L’Inspection de l’Environnement Humain et des Transports (ILT) a saisi environ 3 500 fat bikes. L’importation de ces vélos a également été interrompue. Que rapporte l’ILT lundi. Les vélos électriques peuvent ne pas répondre aux exigences légales, ce qui rend ce moyen de transport dangereux pour les usagers de la route. Les milliers de vélos proviennent d’un fabricant chinois. De quel fabricant il s’agit n’est pas mentionné.

Les vélos, qui selon le régulateur sont vendus aux Pays-Bas à un prix très bas, possèdent les « caractéristiques techniques d’un cyclomoteur », selon l’ILT. Du message partagé, on peut conclure que ces gros vélos roulent à plus de 25 kilomètres par heure. Un cyclomoteur est soumis, entre autres, au port du casque et au permis de conduire. Par exemple, une plaque d’immatriculation est également requise. Ce n’est pas le cas des fat bikes en question.

Si l’enquête montre que les fat bikes ne répondent effectivement pas aux exigences légales, le régulateur s’attend à ce que le fabricant chinois rappelle les vélos.

L’inspection ne peut pas fournir de détails sur les « marques et types de fat bikes » en raison de l’enquête en cours. Karin Visser, directrice de la surveillance et des enquêtes à l’ILT, qualifie le commerce de ce type de fat bikes de « responsabilité partagée » entre les régulateurs et les fabricants ou, par exemple, les importateurs. Visser affirme qu’il y a peu de chance qu’un fat bike pouvant être acheté pour moins de 1 000 euros soit de bonne qualité et sûr.

Lire aussi

Les entreprises néerlandaises de fat bike voient leurs chiffres de ventes chuter en raison du bruit autour des vélos électriques






ttn-fr-33