240 heures de travaux d’intérêt général réclamées à Assenaar pour avoir construit une ferme de cannabis

Le ministère public (OM) exige un service communautaire de 240 heures contre un Assenaar de 51 ans pour avoir construit des fermes de cannabis dans l’est de Groningue. De Assenaar, avec un homme de Nieuw-Buinen, est suspecté dans une affaire de drogue qui occupe la justice depuis des années.

Un homme de 47 ans originaire de Weener en Allemagne a été condamné à quinze mois de prison pour avoir cultivé du chanvre à grande échelle dans l’est de Groningue. Selon le ministère public, l’homme était à la tête d’un groupe qui a créé de grandes crèches à Blijham, Bellingwolde et Veelerveen.

Patron notoire

En plus du service communautaire pour les Assenaar, le ministère public a requis une peine de six mois de prison contre un homme de 32 ans de Groningue pour avoir construit les crèches. Un Brabançon de 59 ans devrait purger une peine de huit mois de prison pour son rôle. L’affaire contre un homme de 29 ans de Nieuw-Buinen a été reportée pour cause de maladie.

Les bâtiments qui seraient utilisés pour la culture appartenaient à un marchand immobilier notoire d’Utrecht. Le prêteur sur gage est régulièrement allé en justice pour des irrégularités avec les locataires et le gouvernement. L’homme est décédé fin novembre 2017 à l’âge de 82 ans et ne peut donc plus être jugé.

Equipe d’observation

Fin 2016, des riverains ont prévenu la police d’une éventuelle pépinière dans une ferme de la Lindenlaan à Bellingwolde. Une mesure de la chaleur a été effectuée et la consommation d’énergie a été cartographiée. Les agents ont également monté une caméra sur le bâtiment et ont observé. Les agents ont noté les plaques d’immatriculation des voitures.

De cette manière, le propriétaire immobilier d’Utrecht est entré en scène, mais aussi le suspect de 47 ans de Weener qui gérait la propriété. Selon l’OM, ​​le prêteur sur gages a loué des propriétés au suspect, sachant qu’il avait beaucoup de succès dans le monde du chanvre.

raids

Les résidents locaux ont également signalé la suspicion d’une pépinière de cannabis dans une ferme à Blijham et Veelerveen. Ces propriétés appartenaient également au courtier immobilier. En mai, juin et octobre, les agents ont fait une descente dans les locaux. Ils ont trouvé des pépinières qui variaient de plus de mille à près de trois mille plants de chanvre par propriété.

Du fait de son décès, le prêteur sur gage ne pouvait plus être poursuivi, mais cela ne s’appliquait pas à sa société qui passa aux héritiers. Ils ont payé une amende de 20 000 euros et le loyer illégalement obtenu de 130 000 euros. Les héritiers ont également renoncé aux fermes de Groningue.

Administration peu pratique

Le procureur de la République a tenu compte du passage du temps dans sa condamnation. Après quatre ans, cette affaire arrive enfin devant les tribunaux. Cela était principalement dû à l’enquête financière. Le gestionnaire immobilier a tout noté sur des notes, un ordinateur lui était étranger. Il était presque impossible pour le pouvoir judiciaire d’avoir une image claire de cette administration.

Par la suite, le délai a encore été augmenté en raison de l’épidémie de coronavirus, des interrogatoires des témoins et des problèmes de planification. Le ministère public veut récupérer un total de 1,2 million d’euros auprès des cinq suspects. Les quatre personnes jugées aujourd’hui ont largement nié leur implication dans ces fermes de cannabis ou ont invoqué leur droit de garder le silence pendant l’enquête. Ils n’ont rien gagné de cela, ou du moins pas autant que le ministère public le suggère, ont déclaré leurs avocats.

Le tribunal statuera le 19 avril.



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