Comment est-il possible que l’adolescent radicalisé de 16 ans de Louvain, qui agitait joyeusement un drapeau de l’EI et avait collecté des matériaux pour fabriquer une bombe, soit autorisé à rentrer chez lui ? « Même si la gravité des faits est sérieuse, c’est parfois juste une plus-value d’être surveillé à domicile », explique Tine Suykerbuyk, juge des mineurs à Bruxelles. Elle explique de quels facteurs dépend une libération.
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